La palette Naked Urban Decay, troisième du nom.
Sur les différents blogs, certaines étaient partantes pour se jeter dessus, d'autres nettement moins. J'ai décidé d'attendre, de me faire ma propre idée. D'abord, elle est vendue plus cher que ses grandes sœurs. Ensuite, le même pinceau à double embout que la Naked 2 est fourni, aucune innovation. Enfin, si on avait une mini Primer Potion avec la Naked 1 et un tout petit brillant à lèvres avec la 2, avec la trois … rien du tout. Une palette, un pinceau, quarante-cinq euros.
Hier, je suis sortie avec ma cops Jimmy Pagette, on a fait le Séphora près du carrefour de l'Odéon à Paris mais la fameuse palette ne s'y trouvait pas. Ça ne m'a pas empêchée de faire exploser — avec sa bénédiction — la carte bleue de mon père. Par contre, je l'ai vue cet après-midi dans l'enseigne près de chez moi et, comment vous dire…
D'après la VPC Séphora et le site officiel d'Urban Decay, la co-fondatrice de la marque s'est inspirée des teintes d'un coucher de soleil sur la mer. Comme ça, on imagine de belles nuances de roses, c'est poétique, romantique, envoyez la matière emo. Néanmoins, ces douze fameuses "couleurs inédites"… ne sont que des variations de trois ou quatre teintes, en version mate, irisée, pailletée, satinée, comme vous voulez. Sans rire, j'ai essayé deux teintes différentes… et le résultat était le même : impossible de différencier un pêche doré de… un or-pêche ? Donc non. J'aime beaucoup les fards de ces teintes, mais avoir d'aussi faibles nuances dans une palette qui coûte ce prix-là… no.
Du coup, comme j'ai une réduction de 20% à valoir au mois de janvier… j'achèterai d'autres trucs au Séphora. J'ai testé un vernis Armani très très beau mais prohibitif, qui devrait passer avec la ristourne. Et pourquoi pas un joli rouge à lèvres.
Namaste !
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